Le monde du travail a subi de plein fouet la pandémie, de nombreuses personnes se retrouvent sans emploie, certaines ont encore un emploi mais se doute que ce n’est pas pour longtemps. Même dans le domaine de l’informatique, la concurrence est devenue rude et les ESN sont prêtes à tout pour placer les consultants dans les missions pour remonter la pente (mais en les contraignant de faire des choses pour lesquelles ils ne sont pas doués ou alors qu’ils n’aiment pas).

La formation initiale et les MOOC ne répondent plus aux besoins des professionnelles, qui sont à la recherche de formation répondant à des besoins bien précis. Je me rappelle Chrisbel (Freelance) qui à cause d’un manque de compétence sur certaines problématiques (qui n’étaient pas demandées au début de la mission), s’est vu éjecter de mission. Je pense également à Romain (salarié d’une ESN) qui s’est senti marginalisé par ses collègues à cause des lacunes, sa boîte à pourtant essayé de l’aider en lui faisant passer des formations, cela n’a pas empêché la non-reconduction de son contrat auprès du client. Enfin, j’ai une pensée pour Franck qui en dernière année d’ingénieur a bien compris qu’il ne trouvera pas de travail (ou difficilement) à la fin de ces études en Réseaux Télécom s’il se contentait des informations obsolètes (mais pertinentes) qui étaient dispensées à l’école.

Face à ces différents cas présentés, le besoin qui est formulé est de se former rapidement et d’être accompagner sur les problématiques contextuelles de chacun. En effet le besoin de ces derniers va bien au-delà de la simple formation sur 2 jours sur une techno particulière, il est nécessaire que le consultant se sente accompagné et soutenu dans sa mission ou dans sa recherche d’emploi.

Pour répondre aux besoins de Chrisbel, de Romain et de Franck, j’ai mis en place le concept de formation adaptative. C’est-à-dire une formation qui s’adapte au besoin du consultant afin de répondre aux attentes des employeurs et des clients.
Elle se décline en 3 phases

(voir ci-dessous)